Quand chargée de ton âge et ta chasteté
Parmi rêves et illusions
Des beaux jours qui ne reviendront jamais
Tu retrouveras mes chansons
En les écoutant tu seras surprise
Que quelqu’un ait voulu chanter
La rougeur de tes lièvres de cerise
Désormais souvenir du passé
Mais il ne te servira plus à rien
Il ne te servira
Que pour pleurer sur ton refus
De mon amour qui ne reviendra
Mais il ne te servira ce rêve
Il ne te servira
Que pour pleurer sur tes beaux yeux
Qui personne plus ne chantera
Le temps vole, tu sais, le temps vole et va
On s’en rend pas compte toujours
Mais encore plus vite c’est toi qui s’en va
Le long de la pente des jours
Pour cela je te dis mon amour, amour
Je t’attends des maintenant
Mais tu viens, je t’en prie, viens ici chérie
Car ce soir c’est encore le printemps
Post Scriptum
Il y a longtemps j’ai traduit cette chanson de Fabrizio De André. Et en suite, je l’ai faite vivre, dans des soirées arrosées aux gout de Bohème, dans les yeux bleues de certaines filles. Elle m’a amenée de la bonne chance et laissés des agréables souvenirs. «Valzer per un amore» a fait du chemin avec moi, dans sa version Italienne, aussi bien que dans ma version Française. Elle est encore la et toujours aussi vraie.